• Chapitre 3.

    Betrayal In Its Most Simplest Form

     

                    A          P                  T          R         E           1        ♥

     

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    Des bruits sourds d'objets se brisant s'entendaient depuis l'intérieur de la chambre de Kuroko. C'étaient des sons de verre éclatant, de vaisselle chutant et d'objets jetés contre l'innocente porte. Kuroko recula et s'enterra plus profondément sous ses couvertures. Ibuki était rentrée quelques heures plus tôt, et les chocs contre sa porte avaient été constants depuis.

     

    « Tet-su-ya-k-u-n » chantonna la voix mielleuse, empoisonnée, d'Ibuki juste devant la porte verrouillée.

     

    « Viens et salue ta mère, Tet-su-ya-kun. » Des frissons parcoururent le dos de Kuroko. Il combattit pour retenir ses larmes et garder le silence, agissant comme s'il n'était pas là, juste comme son père lui avait dit de faire. « Je sais que tu es là, Tetsu » ronronna séductivement sa mère. « Je ne vais pas te blesser. Ouvre juste cette porte. »

     

    Je dois appeler Otou-san, réalisa vaguement Kuroko, mais son téléphone était sur son bureau, et il était trop paralysé pour enlever les larges couvertures au-dessus de lui et aller le chercher. Il était effrayé de faire un quelconque bruit en réalisant le long mètre entre son lit et son bureau. La voix malade de sa mère et ses coups constant sur sa porte faisaient geler son sang, donc il était juste figé sur son lit.

     

    « Tet-su-ya ». La voix d'Ibuki devint froide. « Ce n'est pas bien de faire attendre sa mère. Où sont passées tes manières ? Dois-je les battre en toi, encore, Tet-su-ya ? »

     

    Le tremblement débuta. Le corps de Kuroko trembla de peur à ces mots et plusieurs larmes tombèrent de ses yeux rougis. Pars ,supplia t-il silencieusement. Je ne suis pas ici. Je suis invisible. S'il te plaît, pars. Il y avait une raison pour laquelle il était devenu invisible. Il n'était pas né avec la capacité d'être « une ombre ». Il s'était entraîné à en devenir une.

     

    « C'est ta dernière chance, Tetsuya » siffla sa mère. « Je me moque que ce soit fermé. Je vais aller chercher le tournevis et enlever ce verrou. C'est ce que tu veux, Tetsu ? » Son nom semblait dégoûtant sur ces lèvres. Lorsqu'il ne répondit pas, les pas d'Ibuki s'éloignèrent de sa chambre. Kuroko attendit ce qui sembla être une éternité, espérant que ce silence était un bon signe. L'espoir devenait plus grand les secondes passant sans incident : jusqu'à ce qu'il y ait le son de métaux s'entrechoquant.

     

    Le cœur de Kuroko sauta. Elle le fait vraiment ? Elle va le casser pour entrer dans ma chambre ? Il retint sa respiration et maintint ses yeux fermement serrés. C'était le seul moment où il détestait être si faible, si inutile, si dépendant. Même sur les terrains de basket, il avait besoin de quelqu'un. Sans partenaire, il ne serait rien.

     

    « Je t'ai prévenu, Tetsuya » chantonna sa mère. « Une fois que j'aurai enlevé ce verrou, je vais t'enseigner une leçon sur les manières.. »

     

    Kuroko réalisa qu'il devait bouger. Qu'il devait s'échapper. L'idée de sa survie le sortit de sa paralysie. Il rejeta ses couvertures. De l'air frais l'atteignit et il put enfin prendre une profonde inspiration après des heures d'oxygène limité sous les draps. Kuroko se releva doucement – pleinement conscient de ses côtes et de ses blessures à la tête – pour poser ses jambes hors du lit. Il atteignit une position assise, mais se plia rapidement sous la subite douleur au niveau de son abdomen. Sa respiration se coupa.

     

    « Tu ferais mieux de ne pas t'enfuir, Kuroko Tetsuya » Avertit Ibuki. « Tu n'en aurais pas la chance, de toute manière. Les deux premières vis sont sorties… »

     

    La déclaration elle-même fit grincer les dents de l'adolescent blessé et il se dirigea en clopinant vers la veste sur un porte-manteau. La posant rapidement sur sa moitié supérieure nue, il glissa maladroitement dans sa seconde paire de chaussures de basket qu'il gardait sous le bureau. La dernière chose qu'il attrapa fut son téléphone.

     

    « Plus qu'une vis, mon désobéissant fils. »

     

    Il déglutit. Kuroko savait qu'il n'avait plus le temps. C'était seulement une affaire de secondes avant que sa mère ne vienne et ne l'attrape. Aussi vite qu'il le pouvait, il marcha jusqu'à la fenêtre et l'ouvrit. Une échelle de secours, activée à chaque fois que la fenêtre s'ouvrait, fonctionna comme d'habitude et la longue échelle suspendue se déplia le long du mur. Son père lui avait appris ce truc dès qu'Ibuki était devenue violente.

     

    Ignorant la douleur, Kuroko passa son corps à travers la fenêtre, son pied déjà posé sur la troisième marche de l'échelle. Des pâles, tremblantes mains agrippèrent le poussiéreux cadre de fenêtre jusqu'à descendre à la première marche. L'échelle tremblait sous son poids, qui n'était déjà pas tellement important, mais elle tenait. Avec un soin exagéré, Kuroko commença à descendre.

     

    « Tetsuya ! » Un cri strident le stoppa au milieu de sa descente. Il leva la tête et se figea en voyant la tête de sa mère apparaître à la fenêtre toujours ouverte. « Comment oses-tu essayer de t'enfuir, toi, gamin ingrat ! Alors c'est comme ça que tu t'échappes de moi, hm ? Bien, nous allons juste résoudre le problème. » Le visage d'Ibuki se tordit en un horrible sourire sadique. Elle sortit un couteau de poche et le leva en l'air, la lumière frappant sur le puissant métal. Le couteau brilla d'un éclat démoniaque. « Nous allons voir comment tu survis à la chute, Tet-su-ya-kun » dit la mère de Kuroko d'une voix traînante.

     

    Les yeux dudit garçon s'écarquillèrent alors que son bourreau frottait le couteau contre les cordes qui retenaient l'échelle. Elle commença à les trancher doucement. « N-non. S'il te plaît, Okaa-san, ne fais pas – » La plaidoirie de Kuroko fut coupée par un de ses propres cris. L'échelle lâcha soudainement, et le garçon aux cheveux bleus put se sentir tomber vers le sol.

     

    Avant qu'il ne s'en rende compte, la gravité avait prit son dû, et son dos frappa contre le sol. Dès qu'il le toucha, du sang coula de ses lèvres. Un cri tenta de s'échapper, mais même son cerveau ne put réaliser cela. Sa tête était étourdie par un nouveau niveau de douleur. Ça fait mal. Kuroko pouvait sentir du sang couler le long des larges plaies dues à la chute. Il était vaguement conscient du rire de sa mère.

     

    « On dirait que ça fait mal, Tetsu. Dis-moi, est-ce que ça fait mal ? » railla Ibuki depuis la fenêtre. « Est-ce que ça fait mal de bouger ? Oh, mon pauvre petit garçon. Ne bouge pas d'un millimètre,j'arrive tout de suite. »

     

    J'arrive tout de suite. J'arrive tout de suite. J'arrive tout de suite. Bouger. Courir. M'enfuir. Des signaux d'alerte résonnèrent dans son esprit. Je dois bouger. Pensa désespérément Kuroko. Je dois courir. Malgré la cuisante brûlure dans son dos et ses jambes, il réussit à rouler sur le côté et se lever en tremblant. Alors, probablement la plus grosse erreur de sa vie, il se mit à courir.

     

    La douleur était simplement indescriptible. Cela donnait envie à Kuroko de crier, de pleurer, de s'effondrer, de laisser tomber. Il courait maladroitement, toujours sur le point de trébucher sur ses propres pieds à chaque foulée. Quelques passants le regardaient étrangement. Malheureusement, courir en laissant une traînée de sang derrière vous n'était pas la meilleure façon d'être invisible. Kuroko entendit quelques commentaires :

     

    « Devrions-nous appeler la police ? »

     

    « Le pauvre garçon ! Qu'est-ce qui lui est arrivé ? »

     

    « Devrions-nous l'aider ? »

     

    « De l'aide, s'il vous plaît, voulait dire Kuroko. Il voulait leur dire pour sa mère, la maltraitance, la douleur. Son cerveau ne lui autorisa pas, cependant. La seule chose que son corps lui autorisait était de courir. La seule raison pour laquelle il ne s'arrêtait et ne s'effondrait pas était parce qu'il pouvait être suivi par sa mère.

     

    Un café familier apparut devant lui. Les gens s'écartèrent de lui alors qu'il s'en approchait. Cela devait être un secret – cela l'était. La première chose chanceuse qui lui arrivait aujourd'hui. Quand Kuroko était plus jeune, il jouait toujours près de ce café, dans une place secrète que seul le propriétaire connaissait et où il l'avait autorisé à jouer. C'était derrière le bâtiment, où deux grands buissons entourés de mauvaises herbes formaient une « cachette secrète ». C'était complètement solitaire. Et puisque personne n'osait traverser les mauvaises herbes, il était très rare que quelqu'un y vienne.

     

    Kuroko traversa en trébuchant les herbes, la fatigue le rattrapant. Avant qu'il ne puisse atteindre l'espace dégagé, ses jambes cédèrent sous lui.

     

    Un gémissement lui échappa. Du sang coula de ses lèvres gercées, d'avoir mordu sa langue si fort lorsqu'il courrait. Quelque chose tomba sur l'arrière de sa tête. Quelque part au milieu de la douleur, Kuroko eut assez de bon sens pour appeler quelqu'un avec son téléphone, qu'il avait si fermement agrippé durant sa course. Il n'appela pas son père.

     

    La personne qu'il appela décrocha à la première sonnerie : « Oui ? »

     

    « A-Akashi-kun » croassa t-il.

     

    « Tetsuya. Qu'est-ce qu'il y a ? » demanda immédiatement l'ancien capitaine de l'équipe de basket de Teiko.

     

    Cela prit un long moment avant que Kuroko ne puisse répondre. « Aide-moi, s'il te plaît. Ça-fait mal. »

     

    « Où es-tu ? »

     

    « Près-du-café » réussit-il à haleter. « Où nous avions l'habitude de jouer. »

     

    Akashi fit claquer sa langue. « Tu as de la chance, je suis près. Reste ici, et ne bouge pas. Je serai bientôt là. »

     

    Il n'eut pas de réponse avant que la ligne ne soit déconnectée.

     

    ~Ellipse~

     

    Seijurou Akashi courait à travers les rues, sa destination déjà dans son esprit. Sa vitesse était incroyablement élevée, et elle surpassait n'importe laquelle de ceux de la Génération des Miracles. Une paire de ciseaux pointus qui dépassait de sa poche avant fut remarquée par quelques passants.

     

    Il savait pour la condition de Kuroko. Oh, oui, il savait. Et si son Tetsuya avait encore été blessé par cette femme, il était sûr qu'il le ferait regretter à cette femme. Enfin, prévoir un meurtre n'était pas sa plus grande priorité actuellement, trouver Kuroko l'était.

     

    S'il dit le café, alors ça signifie… Ah c'est ici. Akashi s'approcha du petit bâtiment et prit à gauche. Il était au courant pour la cachette secrète où Kuroko allait à chaque fois qu'il voulait être seul. Ça avait été un secret silencieux entre eux depuis. Akashi cria son nom alors qu'il traversait les mauvaises herbes.

     

    « Aka… shi-kun ? » répondit une faible voix. L'adolescent aux yeux hétérochromes reprit son souffle et s'approcha de la voix.

     

    Finalement, Akashi réussit à rejoindre son ancien coéquipier. Il pouvait voir que le faible garçon combattait l'envie de s'évanouir. Les blessures étaient pires que ce qu'il pensait, du sang coulait lentement des plaies. La fureur s'empara de lui. Comment osait – comment osait cette femme toucher son Tetsuya ? Sa main se crispa près de ses ciseaux.

     

    « A-ka-shi-kun. » Kuroko eut de la difficulté à prononcer son nom. « Tu es venu. »

     

    « Bien sûr que je suis venu » vint la réponse laconique d'Akashi. Il s'agenouilla au-dessus de l'adolescent. « Qu'est-ce qui te fait le plus mal ? »

     

    « Mon dos. » dit doucement Kuroko.

     

    Le petit capitaine soupira et sortit un rouleau de bandes de sa poche. « Je vais bander temporairement tes jambes et les blessures de ta tête. Ne pense même pas à t'évanouir, Tetsuya, tu m'entends ? »

     

    Pour une quelconque raison, la voix impérieuse d'Akashi réconforta Kuroko. « Hai » chuchota t-il.

     

    Il réussit à bander les plaies les plus importantes rapidement et efficacement. Ça ne causait pas plus de douleur, et Kuroko en était extrêmement reconnaissant, mais son dos le faisait maintenant agoniser. « Akashi-kun » dit le plus petit d'une voix écorchée. Abruptement, une calleuse paire de mains chaudes prit soigneusement le petit corps dans une étreinte. Kuroko ne protesta pas et enfouit son visage dans l'épaule de son sauveur.

     

    « Tout ira bien. » dit une impérieuse voix près de son oreille. Ça ne ressemblait pas à son ancien capitaine de dire ce genre de choses. « Je suis là. »

     

    Du sang teinta la veste d'Akashi, mais ça ne le dérangeait pas parce qu'il était maintenant focalisé sur les soins du fragile garçon dans ses bras. « Mon dos… » Dit Kuroko.

     

    Une main passa dans ses mèches bleues désordonnées. « Tu peux t'endormir maintenant. Ça ne fera plus mal. »

     

    Et Kuroko fit juste ça. Il fit finalement ce dont son corps avait besoin et s'évanouit dans les bras d'Akashi.

     

    ~Ellipse~

     

    L'adolescent aux yeux vairons réussit à monter les marches avec un garçon inconscient dans ses bras. Il enfonça la clé en or de son appartement dans la serrure de la porte et l'ouvrit avec facilité. Le poids du corps de Kuroko était proche de rien, alors il n'entravait pas l'ancien capitaine.

     

    Akashi fronça les sourcils à son poids. Je ferai attention à ce qu'il mange plus.

     

    Précautionneusement, Seijuro posa Kuroko sur le canapé. Le mouvement fit gémir le pâle garçon, mais ne le réveilla pas. Akashi grimaça et fouilla rapidement dans ses poches pour en ressortir son téléphone. Ecrivant plus rapidement que d'habitude, il tapa :

     

    Venez chez moi immédiatement.

     

    C'est un ordre. Tetsuya est blessé.

     

    Satisfait, il envoya le message et jeta son téléphone sans délicatesse, sachant qu'il atterrirait sur la chaise derrière lui.

     

    Il sortit alors la boîte de premiers secours et commença à s'occuper des blessures de Kuroko.

     

    ~Ellipse~

     

    « Kurokocchi va bien ? » cria Kise aussitôt qu'il eut violemment ouvert la porte d'Akashi. « Est-il ok ? A-t-il besoin d'aller à l'hôpital ? Dois-je dire à Midorima d'accélérer son entraînement pour que nous l'ayons pour soig – »

     

    « Ryouta. » La voix froide fit stopper Kise à la moitié de sa phrase et frissonner. « Tu ferais mieux de parler moins fort. »

     

    Le blond cligna des yeux et réalisa finalement qu'Akashi et Kuroko étaient juste en face de lui, assis sur le canapé. Enfin, actuellement le premier était assis dessus. Le second était recroquevillé contre l'effrayant capitaine, ses yeux clos. « P-pardon, Akashicchi. »

     

    Les yeux hétérochromes se plissèrent un instant en le regardant, avant qu'il ne fasse un léger signe de tête au copieur. Kise soupira avant de s'approcher de Kuroko. Il s'agenouilla en face des jambes d'Akashi et regarda les blessures infligées à l'invisible garçon. « Est-ce la personne à laquelle je pense ? »

     

    « Oui. Je suppose. »

     

    Kise jura doucement.

     

    Bientôt l'entière Génération des Miracles arriva à l'appartement d'Akashi. Chaque joueur eut la même réaction que Kise, plus ou moins. Aomine jura lourdement, ce qui entraîna une réprimande de l'effrayant adolescent. Midorima secoua silencieusement la tête et pressa ses lèvres en une fine ligne droite. Murasakibara mâcha tristement ses chips et en offrit même quelques uns à Akashi, qui déclina la proposition.

     

    La Génération des Miracles savait quel genre d'Enfer vivait Kuroko lorsque ses parents arrivaient à la maison. Ils savaient de quoi était capable sa mère, et combien de douleur elle pouvait causer au garçon jusqu'à ce qu'il se brise. Chacun d'eux avait assez vu de Kuroko brisé, et c'était quelque chose qu'ils avaient tous en horreur.

     

    Midorima soupira et s'assit à côté du garçon endormi, ébouriffant avec hésitation les cheveux de Tetsuya. « Tellement dérangeant » dit-il doucement.

     

    « Kuro-chin ira-t-il bien, Aka-chin ? » demanda Murasakibara avec morosité.

     

    « Je ne sais pas, Atsushi. Prends un siège, tu ne peux pas tenir dans mon appartement avec ta taille. »

     

    Le violet marmonna une excuse, qui fut acceptée, et s'assit.

     

    « Evidemment qu'il ira bien ! » protesta Aomine. « Kuroko peut sembler faible, mais il est fort ! Il a survécu toutes ces années – »

     

    « Mais combien pourra t-il encore en supporter ? » fit tristement remarquer le n°1 des shooters. L'as de Teiko ne sut pas quoi répondre à ça.

     

    « Bordel », des larmes vinrent facilement aux yeux de Kise, « Pourquoi cela doit-il toujours être Kurokocchi ? Pourquoi a-t-il toujours à souffrir ? » Ryouta essuya ses yeux avec le dos de sa main et renifla. « Ce n'est pas juste, il ne mérite pas ça. »

     

    Akashi pinça les lèvres aux commentaires de ses anciens coéquipiers. Il ne pouvait qu'approuver. Tetsuya ne méritait aucunement cette douleur. Il n'avait pas besoin d'une mère ingrate qui ne pouvait pas voir à quel point elle était chanceuse d'avoir Tetsu comme fils. Il n'avait pas besoin de souffrir plus.

     

    Le rouge pressa un doux baiser sur le front moite du garçon avant de s'adresser à la Génération des Miracles, « Je comprends que vous soyez énervés. Tu as raison, Ryouta. Tetsuya ne mérite pas cette souffrance inutile. » Il fit une pause et ajouta, « Personne ne doit savoir à propos de ça, pas même Seirin, l'équipe de Tetsuya… Non, spécialement Seirin. Assurez-vous que Seirin ne sache rien à propos de ça, quelqu'en soit le prix. »

     

    ___________________________________________________________

    La GoM entre en scène !

     

     

     

  • Commentaires

    1
    Lola
    Dimanche 7 Septembre 2014 à 15:58
    Bonjours j'aimerai savoir si tu vas bientôt faire un nouveau chapitre car ta fiction pour le moment est génial !!!!!!! ^^
    Merci !
    2
    Dimanche 7 Septembre 2014 à 18:45

    Oui je le fait se soir ou semain jte préviens si tu veux

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